Familles, amis, mobilisez-vous et venez déposer vos dons de vêtements, literies et jouets en bon état, du 24 octobre au 29 octobre 2020, directement au 7720 avenue Curé-Clermont, Anjou, QC H1K 1X3
Plus les jeunes, les parents et la communauté se mobilisent, plus c’est payant. Les fonds de la collecte permettront l’achat de matériel audio-visuel qui servirait aux ateliers pour les jeunes.
Matériel accepté : Tous les vêtements hommes, femmes et enfants, sacs à main, foulards, chapeaux, gants, fourrures, chaussures et bottes, draps, serviettes, rideaux, accessoires de cuir, ainsi que les jouets en bon état. Nous n’acceptons que ce qui est en bon état et qui peut être réutilisé et transformé. Les vêtements très sales et souillés seront retirés avant la pesée. Les Super Recycleurs ne sont pas en mesure d’accepter les oreillers, les tapis et les patins.
Les Super Recycleurs mobilisent la communauté autour d’un mouvement éco-socio-responsable afin de financer des projets concrets par la collecte de vêtements usagés.
Pourquoi recycler les vêtements et les textiles?
Plus de 80 milliards de vêtements sont confectionnés chaque année.
Au Canada, on jette en moyenne 37 kg de vêtements par personne par année. La grande majorité des vêtements finissent dans des décharges ou sont incinérés?; globalement, seulement 20 % des vêtements sont collectés pour être réutilisés ou recyclés.
26 % des vêtements sont faits de coton. Un quart de la consommation mondiale de pesticides est utilisée pour lutter contre les parasites dans le coton. En plus, le secteur de la mode est le deuxième plus gros consommateur d’eau dans le monde. Le coton consomme beaucoup d’eau, car, pour fabriquer un t-shirt en coton, 2700 litres d’eau sont nécessaires et 10000 litres pour une paire de jeans.
Cela prend de 1 à 5 ans pour que les gants ou les chaussettes de laine se décomposent. Pour les chaussures en cuir, de 25 à 40 ans, et pour les textiles, de 100 à 500 ans.
Nos vêtements sont de plus en plus produits avec des fibres synthétiques, comme le nylon, le polyester et l’acrylique. On estime à 500000 tonnes de microfibres de textile qui polluent les océans, et cela, surtout à cause des effluents de lessive, provoquant des effets sur la santé de la faune marine qui finiront dans nos assiettes.